L'étude, publiée le 12 octobre dans Nature, présente la typologie mondiale des écosystèmes de l'UICN : la première typologie universelle et complète des écosystèmes de la Terre qui s'appuie sur et complète un certain nombre de normes et d'ensembles de données sur la nature, dont beaucoup ont été créés par l'UICN, et qui permettent aux décideurs d'établir des priorités, de mettre en œuvre et de mesurer les actions de conservation visant à étendre les zones protégées, à soutenir les écosystèmes et à prévenir l'extinction d'espèces. La recherche, menée par les membres de la CGE, le professeur David Keith, le professeur Emily Nicholson, la présidente de la CGE, Angela Andrade, et le professeur Richard Kingsford du Centre for Ecosystem Science de l'UNSW, ainsi que par une équipe internationale de scientifiques, nous permet de comprendre les grandes tendances mondiales, y compris la transformation des écosystèmes. Les décideurs politiques, les industries, les gouvernements et les ONG disposeront ainsi d'un outil puissant pour planifier leurs initiatives dans un contexte complet, car ils sauront comment les décisions relatives aux efforts de protection et de restauration des écosystèmes peuvent maximiser les avantages en matière de conservation, et où les infrastructures de développement sont les mieux placées pour minimiser l'impact.

La 108ème réunion du Conseil de l'UICN se tiendra à Abu Dhabi les 17, 18 et 19 janvier 2023 en présence de Razan Al Mubarak, Président de l'UICN, et de plusieurs invités spéciaux. Avant la réunion du Conseil, il y aura une réunion de toutes les commissions dans le but de rassembler les sept commissions autour d'une série de questions critiques qui doivent être abordées, telles que l'éducation et la communication, l'environnement, le climat, la politique économique et sociale, la gestion des écosystèmes, la survie des espèces, le droit de l'environnement et les aires protégées pour aborder le changement transformateur qui est nécessaire pour freiner la crise de la biodiversité et du climat. La réunion rassemblera des sessions d'écoute, des dialogues, des débats et les dernières connaissances scientifiques pour nous aider à identifier les lacunes critiques, les nouvelles pistes de travail et la manière de réimaginer la façon dont nous faisons de la conservation à travers une vision à 20 ans.

L'Asie est l'une de nos régions les plus actives avec près de 35% de tous les membres de la CGE appartenant à des pays du continent et plus de 400 membres provenant de l'Inde, y compris la vice-présidente pour l'Asie, Shalini Dhyani, et la présidente régionale pour l'Asie du Sud, Deepu Sivadas, qui ont été extrêmement actives au cours des dernières années en développant des initiatives dans la région. C'est pourquoi nous avons décidé d'organiser notre 54eme Comité Directeur à Thrissur, en Inde, les 12, 13 et 14 mars, ainsi qu'un atelier de deux jours, afin de renforcer l'implication des membres asiatiques et des jeunes professionnels dans la Commission. Nous aurons des discussions, des présentations, des débats et du réseautage, où nous discuterons de certains des sujets les plus pertinents dans la région, tels que la typologie mondiale des écosystèmes et la liste rouge des écosystèmes, les jeunes professionnels, les écosystèmes forestiers régionaux, les mangroves, les agro-écosystèmes, les écosystèmes marins, la gouvernance des écosystèmes, la restauration et la gestion des zones protégées, entre autres. Nous nous réjouissons de la présence de tous les membres du Comité Directeur de la CGE ainsi que de Stewart Maginnis, le point focal de la CGE au Secrétariat, David Keith et Emily Nicholson, Emmanuelle Cohen, ainsi que de plusieurs chefs de groupes régionaux et de jeunes professionnels.

En octobre, David Keith et Emily Nicholson, responsables et co-responsable de la Liste Rouge des Ecosystèmes (LRE), ainsi que Stewart Magginnis, Marcos Valderrabano, Richard Kingsford et Angela Andrade, ont eu l'occasion de se réunir à Cambridge, au Royaume-Uni, pour travailler sur la résolution 061, qui établit un partenariat et un développement de la typologie mondiale des écosystèmes et de la LRE. Cette initiative, mentionnée ci-dessus dans les faits marquants de la CGE, a été considérée comme l'un des projets prioritaires à développer conjointement entre la Commission et le secrétariat. La réunion a été extrêmement fructueuse et a constitué une étape importante pour le développement d'un premier cadre et pour la définition des priorités en vue d'une éventuelle collecte de fonds. Ce travail est très important pour la prise de décision dans le monde entier et pour une meilleure compréhension de l'état et de l'interaction entre les écosystèmes à l'échelle mondiale.

La semaine dernière, lors de la COP15 qui s'est tenue à Montréal, au Canada, la Journée de la Restauration a eu lieu avec la participation de Cara Nelson et de l'équipe de la Society for Ecological Restoration (SER), où ils ont lancé la deuxième édition des normes de pratique de la restauration, à laquelle plusieurs membres de la CGE ont participé. Cette publication innovante fournit des conseils actualisés et élargis sur la pratique de la restauration écologique, clarifie l'étendue de la restauration écologique et des activités connexes de réparation environnementale, et inclut des idées et des contributions d'un groupe international diversifié de scientifiques et de praticiens de la restauration. Cette deuxième édition s'appuie sur la première édition des Normes, qui a été publiée le 12 décembre 2016 lors de la COP13 à Cancun, au Mexique. Pour visionner l'intégralité de la conférence, cliquez ici.

Plusieurs membres du groupe thématique sur l'atténuation des impacts et la compensation écologique (IMEC pour ses seigles en anglais) de la CGE ont eu des présentations lors de plusieurs événements sur l’approche nature positive à la COP15. Le groupe de travail Nature Positive, dirigé par Mark Johnston, a publié un résumé de son travail actuel axé sur un projet de document : Nature Positive for business : developing a common approach (Nature Positive pour les entreprises : développer une approche commune). Le travail s'est appuyé sur une série d'ateliers avec la contribution de plus de 60 personnes, et vise à compléter le document de travail de l'UICN sur l’approche nature positive en présentant des principes clés et des actions pour soutenir l'alignement des entreprises sur cette démarche.

Regardez cet événement et tous les événements passés de la COP15 ici.

La NbS Youth Coalition a récemment publié un blog intitulé « NbS Ahead of COP15 : Where are We Now ? », qui résume ses activités récentes et ses points de vue sur le développement de les solution fondées sur la nature cette année, y compris les décisions de l'UNEA et de la COP27, Nature+, et l’application des demandes formulées dans la Déclaration mondiale de la jeunesse.

La Coalition est une initiative conjointe du Réseau mondial des jeunes pour la biodiversité (Global Youth Biodiversity Network - CBD Youth Constituency), de Youth4Nature et de YOUNGO (UNFCCC Youth Constituency), et a collaboré avec l'UICN lors de divers événements au cours des deux dernières années. Pour toute question, veuillez contacter Cathy Yitong Li.

Angela Andrade, ainsi que d'autres experts, ont participé à l'événement intitulé « Le nouveau paysage du risque systémique et le cadre mondial pour la biodiversité après 2020 » lors de la COP15. L'événement a exploré les défis et les opportunités pour comprendre, gérer et réduire le risque systémique dans un monde qui a été transformé par la pandémie du COVID-19 et la triple urgence planétaire, en particulier la perte de biodiversité.

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En octobre dernier, le groupe de spécialistes des forêts a lancé sa série de webinaires thématiques avec une première session intitulée Intact Forests : Safeguarding planetary processes où le groupe a défendu les forêts intactes et les services écosystémiques essentiels qu'elles fournissent en accordant une protection stricte à toutes les paysages forestiers intacts restants. Les prochains webinaires seront annoncés au début de l'année 2023.

La Convention de Ramsar sur les zones humides (COP14) s'est déroulée dans un format hybride à Wuhan, en Chine, et à Genève, en Suisse, où nous avons eu l'occasion de lancer la dernière publication de la CGE intitulée Wetlands and People at Risk (Les zones humides et les populations en danger). Cette publication de 14 études de cas tente de sensibiliser à la pertinence des systèmes de zones humides et à leurs impacts et menaces actuels dans différentes régions du monde. Elle vise à décrire le statut, les défis et la perte des zones humides liés aux conflits entre les activités anthropiques et les services écosystémiques naturels fondamentaux pour les moyens de subsistance des populations. Il compile 14 études de cas provenant de différentes régions du monde et typologies de zones humides, y compris les zones humides terrestres, fluviales, estuariennes, marines et côtières, ainsi que les zones humides insulaires. C'est le résultat d'une collaboration collective menée par le groupe de spécialistes des zones humides, et éditée par Claudio Baigún, Birguy Lamizana et Priscila Minotti.

Le Routledge Rewilding Handbook a été publié le 30 novembre et comprend des contributions d'un certain nombre de membres de la CGE, dont la présidente, Angela Andrade, Cara Nelson, Liette Vasseur, Yue Cao, et Adam Eagle, et a été édité par une équipe du groupe thématique de Rewilding - Sally Hawkins, Ian Convery, Steve Carver & Rene Beyers. La publication aborde le rewilding comme un domaine de conservation émergeant rapidement et qui a souvent été défini et utilisé de différentes manières (à la fois dans le temps et dans l'espace). Le manuel fournit une vue d'ensemble de l'histoire, de la théorie et des pratiques actuelles du rewilding, et est organisé en quatre sections pour refléter les domaines clés de la théorie, de la pratique et du débat sur le rewilding : son évolution, les fondements théoriques et pratiques, les applications et les impacts, et l'éthique et la philosophie du rewilding. S'appuyant sur une série d'études de cas internationales, le manuel aborde un grand nombre de questions et de défis clés familiers aux membres de la CGE, y compris l'acquisition de terres et la planification à long terme, la transition de la restauration (dirigée par l'homme et facilitée par la nature) au rewilding (dirigé par la nature et facilité par l'homme), et le rôle du changement transformationnel politique et social.

Accédez au livre complet ici.

Une session sur « Le lien entre les services écosystémiques et les solutions fondées sur la nature (SfN) pour une société et une nature plus résilientes », a été organisée par les responsables du groupe de travail des SfN de la CHE, et a eu lieu à Héraklion, en Grèce, le 11 octobre, lors de la conférence ESP. Douze présentations et une riche discussion ont eu lieu, y compris plusieurs études de cas utilisant la Norme mondiale del SfN comme partie de leur cadre de recherche.

Le podcast est une initiative menée par le réseau régional des jeunes professionnels (YPN), et représente un espace dédié au partage de l'expérience des jeunes dans leurs différents domaines d'expertise, leur histoire dans les sciences de l'environnement et les bourses (ou financements) qui ont stimulé leur croissance professionnelle, afin d'inspirer les générations futures à réaliser leur potentiel. Le premier épisode a été enregistré en 2022 et portait sur le livre « Gouvernance pour une adaptation fondée sur les écosystèmes » dont Rocío Córdoba-Muñoz (coordinatrice régionale de la CGE) est co-auteur. L'un des principaux messages était de mettre en évidence la biodiversité et les services écosystémiques comme une question essentielle pour l'adaptation au changement climatique. Le podcast sera lancé début 2023 et sera partagé sur les canaux de médias sociaux du CGE.

Grâce à l'invitation du coordinateur de l'initiative de la célébration de la journée des zones protégées et conservées ainsi qu'à la recommandation du Dr Bernal Herrera, le 17 août, les jeunes professionnels de la CGE de la région tels qu' Oswaldo Amarillas, coprésident pour Meso, l'Amérique centrale et les Caraïbes ont participé à un module de formation traitant de la façon dont les SfN peuvent devenir des éléments de conservation importants dans les zones protégées d'Amérique latine.

Lien de publication : https://fb.watch/g_hLqKvfs8/

En août 2022, Dariana Avila, jeune professionnelle de la CGE, a participé au programme « Perspectives de gouvernance climatique et réponses locales au changement climatique en Amérique centrale », un séminaire organisé par l'Association hondurienne des anciens élèves d'Allemagne, avec une présentation intitulée « Gouvernance climatique avec une approche de la population indigène ». Dariana a également participé à la « Vème conférence de recherche universitaire sur le changement climatique », dont le thème principal était les SfN pour le changement climatique. Elle a présenté la session intitulée « Ecosystem Management from the perspective of the indigenous and peasant population in Honduras » (Gestion des écosystèmes du point de vue de la population autochtone et paysanne au Honduras). Emmanuelle Cohen-Shacham, PhD, responsable du groupe thématique "Solutions fondées sur la nature" de la CGE de l'UICN, a également participé à la conférence.

La présentation peut être suivie ici.

La présidente régionale de la CGE pour le Mexique, l'Amérique centrale et les Caraïbes, Rocío Cordoba, a récemment participé à deux réunions du comité scientifique consultatif du projet : "Altiplano Resiliente" (Guatemala). Ce comité est composé de membres du monde universitaire, du gouvernement guatémaltèque, d'instituts de recherche et d'ONG actives dans le domaine de la sylviculture et des populations indigènes, entre autres. L'objectif du projet est de réduire l'impact du changement climatique sur le cycle hydrologique des bassins cibles afin d'accroître la résilience de l'écosystème et de la population face au changement climatique.

Manuela Ruiz, co-directrice du SERT, et Doris Cordero, présidente régionale de la CGE pour l'Amérique du Sud, ont co-animé un webinaire en espagnol consacré à la critique et à la clarification de la pertinence des concepts de résilience et de transformation pour l'Amérique du Sud. Les intervenants étaient Armando Valdés-Velásquez, Robert Hofstede, María del Rosario Ortiz et Juan Carlos Rocha. L'objectif était de commencer à énoncer une vision régionale de la manière dont la pensée systémique socio-écologique pourrait contribuer à atténuer les crises du climat, de la biodiversité, de la vulnérabilité humaine et autres. Peter Wells et Carolina Carvalho ont animé le deuxième webinaire sur la blockchain et la conservation, centré sur le projet Biodiversity Oracle (Tony Lai), avec des contributions supplémentaires du groupe d'intérêt blockchain du Secrétariat de l'UICN (Leander Raes) et de la Fondation Porini (Roman Eyholzer).

Les responsables du groupe thématique « Solutions fondées sur la nature » (SfN) de la CGE finalisent une compilation et une analyse des études de cas SfN du monde entier, auxquelles de nombreux membres de la CGE ont contribué en présentant une étude de cas qu'ils ont soigneusement évaluée à l'aide de la norme mondiale del SfN. Cette étude a pour but de contribuer à l'apprentissage de la mise en œuvre des SfN, de l'utilisation de la norme mondiale dans différents contextes géographiques et écologiques, et de fournir un retour d'information qui permettra d'améliorer les futures versions de la norme mondiale. Les résultats de l'analyse des études de cas et leur description seront publiés dans les mois à venir.

L'IMEC a également organisé son dernier webinaire pour 2022 sur les leçons apprises et les recommandations pour l'accès au financement privé afin d'obtenir des gains de biodiversité des banques d'habitat en Colombie et au Brésil. Le webinaire a réuni Mariana Sarmiento, fondatrice de TERRASOS, une start-up innovante qui a ouvert la voie en Colombie, et Andréia de Mello Martins de FUNBIO au Brésil, qui a présenté leur modèle à but non lucratif, un fonds fiduciaire pour la conservation. L'enregistrement, ainsi que tous les webinaires précédents, peuvent être consultés ici.

Steve Moddemeyer, membre de la SERT, préside le comité des académies nationales des sciences, de l'ingénierie et de la médecine des États-Unis sur les sujets de recherche appliquée en matière d'atténuation des risques et de résilience. Le comité a préparé deux rapports de « consensus rapide » : Resilience for Compounding and Cascading Events (2022) et Equitable and Resilient Infrastructure Investments (2022). Les auteurs affirment que le temps où l'on pensait aux événements ponctuels est révolu - aujourd'hui, de multiples catastrophes frappent les populations vulnérables avant qu'elles ne se remettent de l'événement précédent. Les rapports posent des questions clés destinées à stimuler de nouvelles recherches appliquées.

Jeffrey Sayer, membre du SERT, a récemment publié un article intitulé « Performance auditing to assess the implementation of the Sustainable Development Goals in Indonesia » dans la revue Sustainability. L’article montre comment un pays peut évaluer l’efficacité de son dispositif de gouvernance afin de progresser dans la mise en œuvre des objectifs de développement durable et, partant, d’améliorer la probabilité de les atteindre d’ici à 2030. Cela contraste avec les pays dont les ressources et la disponibilité des données sont limitées et qui surveillent les 169 cibles et les 242 indicateurs.

Ahjond Garmestani, membre du SERT, a donné un séminaire invité à l'université d'Utrecht sur la « gouvernance de la résilience des systèmes socio-écologiques ». Il a également co-écrit un article dans la revue Utrecht Law Review, « Adaptive governance of river deltas under accelerating environmental change » (gouvernance adaptative des deltas sous l'effet de l'accélération des changements environnementaux). Utrecht Law Review 18 : 30-50. L'article fait partie d'un numéro spécial plus vaste consacré à la gestion des responsabilités en matière de risques liés au changement climatique.

Le professeur Bryan Jenkins, membre du SERT, a récemment publié plusieurs articles, dont Methods of Assessment and Sustainability, pour le symposium EIANZ 2022 Impact Assessment, qui s'est tenu à Adélaïde, en Australie. L'article décrit quatre méthodes d'analyse de la durabilité basées sur le cycle adaptatif de Holling : l'évaluation de l'impact de la phase d'exploitation, l'évaluation cumulative de la phase d'accumulation, l'évaluation de la résilience de la phase de perturbation et l'évaluation de la récupération de la phase de réorganisation. Les cas illustrent la nécessité d'évaluer les transitions vers la durabilité sous la direction du gouvernement avec l'engagement de l'industrie et de la communauté.

Jenkins, B.R. (2022) Science and Policy Delay leading to Loss of Natural Capital : Case Study of Te Waihora/Lake Ellesmere a été récemment publié dans l'Australasian Journal of Water Resources. L'article analyse les sources de retard scientifique et politique dans le développement d'interventions environnementales visant à remédier à la surallocation des eaux souterraines et à la dégradation de la qualité de l'eau dans un lac côtier. L'analyse a mis en évidence le temps nécessaire à la collecte des données scientifiques ainsi qu'à la formulation et à la mise en œuvre des réponses politiques. Elle a également mis en évidence les retards dus à l'incertitude scientifique, aux controverses scientifiques, à la méconnaissance de la science, aux processus de décision et au temps de réponse du système naturel. Ces retards ont permis un développement dépassant les limites de la durabilité et ont pu compromettre de façon permanente la capacité à mettre en œuvre des interventions pour la régénération des lacs.

Lire l'article ici.

Jenkins, B.R. (2022) Emerging European Developments in Impact Assessment, Conférence annuelle de l'EIANZ : Shaping the Future of the Environment Profession, Townsville, 26-28 octobre 2022.

Le document décrit deux changements importants dans l'évaluation de l'impact des projets. Le premier est l'introduction de « rapports sur les résultats environnementaux » au Royaume-Uni pour remplacer les évaluations d'impact environnemental. Les projets sont évalués par rapport à des résultats environnementaux spécifiques liés au plan d'amélioration environnementale du gouvernement. Le second est la « taxonomie des investissements durables » de l'UE. Pour faciliter l'investissement durable, les projets doivent apporter une contribution positive à au moins un objectif de durabilité et éviter toute contribution négative à d'autres objectifs de durabilité.

Piralizefrehei, A., Kolahi, M. & Fisher, J. (2022). Ecological-environmental challenges and restoration of aquatic ecosystems of the Middle-Eastern. Scientific Reports 12, 17229.

https://doi.org/10.1038/s41598-022-21465-0

Zefrehei, A. R. P., Kolahi, M., & Fisher, J. (2022). Modeling Wetland Restoration Scenarios in Gavkhooni International Wetland. Restoration Ecology, e13721.

https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1111/rec.13721

Pirali Zefrehei, A.R., Kolahi, M. & Fisher, J. (2022). Evaluation of Zayandehroud basin health in the Iranian plateau. Aquatic Sciences 84, 64.

https://link.springer.com/article/10.1007/s00027-022-00896-x

European Commission, Directorate General for International Partnerships. Luna Rodríguez, M., Villate Rivera, R., Nature-based solutions in the NDCs of Latin American and Caribbean countries: classification of commitments for climate action, (Series of Technical Documents EUROCLIMA+ n.17), EUROCLIMA+ Programme, Brussels, 2022. DOI: 10.2841/236987