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Daouda Ngom, ministre sénégalais de l’Environnement et de la Transition écologique, considère le Congrès de l’UICN comme un moment stratégique pour mettre en valeur l’innovation africaine, renforcer les partenariats mondiaux et régionaux, et contribuer à l’élaboration d’un programme commun pour des écosystèmes résilients, des communautés autonomes et une croissance verte inclusive.

Par Son Excellence la Dre Shaikha Salem Al Dhaheri, Secrétaire générale de l’Agence pour l’environnement – Abou Dhabi et Conseillère de l’UICN pour la région Asie occidentale

Alors que les experts de la nature et de l’environnement se préparent à se réunir à Abou Dhabi pour le Congrès mondial de la nature de l’UICN, une vérité s’impose : nous ne pouvons pas résoudre la crise climatique sans résoudre la crise de la nature. Et nous ne pouvons pas résoudre la crise de la nature sans repenser en profendeur la manière dont nous valorisons, finançons et innovons avec le monde naturel.

Les avancées technologiques rapides créent de nouveaux outils puissants pour la conservation, de l'analyse de données basée sur l'IA à la surveillance par drone. Dans cet article, Dave Thau, responsable scientifique mondial des données et des technologies au WWF (organisation Membre de l’UICN), examine l'utilisation de ces innovations dans le secteur, les risques qu'elles présentent et l'importance de garantir leur accessibilité, leur éthique et leur respect de l'environnement. À l'occasion des discussions clés du Congrès de l'UICN, cet article offre un aperçu opportun de l'avenir des technologies de conservation.

Il ne reste que 6 stands, 3 pavillons moyens et 3 grands disponibles dans l'Exposition. Les premiers arrivés seront les premiers servis.

Ne manquez pas cette toute dernière opportunité de présenter votre travail et d'avoir un impact sur la conservation dans l'exposition du Congrès mondial de la nature 2025 de l'UICN.

Rejoignez plus de 120 exposants déjà confirmés et réservez dès maintenant sur le Portail des exposants!

À mesure que les investissements mondiaux dans les infrastructures s’accélèrent, la pression sur la biodiversité s’intensifie également. Dans les pays de l’aire de répartition des singes, le Groupe de travail ARRC, une initiative du Groupe de spécialistes des primates de la CSE-UICN, trace une nouvelle voie audacieuse : travailler directement avec les promoteurs et les prêteurs pour intégrer des garanties scientifiques dans les projets à fort impact. À l’approche du Congrès mondial de la nature de l’UICN 2025, le groupe de travail ARRC offre un exemple convaincant de la manière dont un leadership en matière de conservation et une collaboration intersectorielle, y compris avec le secteur financier, peuvent stimuler l’innovation, la responsabilité et de meilleurs résultats pour la nature.

Alors que le Congrès mondial de la nature de l’UICN 2025 met l’accent sur l’innovation disruptive et la transition vers des économies positives pour la nature, les pépinières d’entreprises apparaissent comme une réponse audacieuse de la part des zones littorales africaines. Cet article explore comment OceanHub Africa (une organisation Membre de l’UICN) développe des solutions régénératrices et à faible contenu technologique au service des océans, allant des drones sous-marins aux moteurs solaires, qui restaurent les écosystèmes, autonomisent les communautés et mettent en pratique les principes d’une économie bleue régénératrice.

​​​​​Une nouvelle édition de Policy Matters, qui sera présentée lors du Congrès mondial de la nature de l’UICN 2025, explore quatre thèmes transformateurs pour réinventer la conservation : leadership et justice ; argent et pouvoir ; relations ; et action de ​conservation​​​. Grâce à une réflexion critique et à des alternatives audacieuses, la Commission des politiques environnementales, économiques et sociales (CPEES) de l’UICN nous met au défi de repenser la façon dont la conservation est menée, qui elle sert et ce qu’elle pourrait devenir.